jeudi 26 décembre 2013

Gonflé : le pape François appelle les athées à vouloir la paix !

Le 25 décembre est un jour fameux dans le monde chrétien pour la réécriture de l'Histoire : la fête non chrétienne de Sol Invictus a été maquillée en la naissance d'un gamin légendaire. Ce 25 décembre 2013, parmi d'autres fariboles, le pape François s'est inscrit à son tour dans la manipulation des faits en appelant ingénument les athées à désirer la paix dans le monde : "j’invite aussi les non-croyants à désirer la paix, avec leur désir, ce désir qui élargit le cœur : tous unis, ou avec la prière ou avec le désir. " (Message Urbi et Orbi du pape François, 25 décembre 2013).

Désirer la paix est bien louable mais il n'aurait pas été désagréable de préciser que l'immense majorité des conflits correspondent à des fractures religieuses ou sont dictés par des injonctions religieuses et que, en conséquence, les athées n'y peuvent pas grand-chose. Mais les oreilles des croyant(e)s n'étant pas disposées en ce jour à entendre un discours de vérité, mieux valait occulter que les religions constituent un excellent combustible ("Ce n'est pas la paix que je suis venu apporter mais le glaive", Matthieu 10, 34). Et Bergoglio n'a pas oublié de bercer son troupeau docile d'un mensonge digne du dernier des charlatans : "Nous avons vu combien la prière est puissante !" Vraiment ?

http://atheisme.org/pape-2512.html
marchands-detail

La conception chrétienne du pacifisme avec le mythique Jésus, à propos des marchands du temple (tableau de Thomas, 1822, église Saint-Roch, Paris) : "S'étant fait un fouet avec des cordes, il les chasse tous hors du temple ainsi que les brebis et les bœufs, disperse la monnaie des changeurs et renverse les comptoirs." Jean (2,15).
 

mardi 24 décembre 2013

La Courtine (Creuse)



INVITATION DE LA PART DE :
Régis PARAYRE, Président de la Libre Pensée de la Creuse
Jean-Marc MICHELON, Maire de La Courtine (Creuse)
Jean GAVRILENKO, fils d'un soldat russe mutin de La Courtine
Eric MOLODTZOFF, petit fils d'un soldat russe mutin de La Courtine
A L’ASSEMBLEE CONSTITUTIVE DE L’ASSOCIATION
« La Courtine 1917 »

A tous les citoyens qui on
A tous les citoyens qui ont contribué à l'édification de la stèle au cimetière de La Courtine en hommage aux 10 000 soldats russes mutinés en 1917.
- A tous les citoyens pacifistes, élus, responsables d'associations, historiens, chercheurs, artistes, journalistes, qui souhaitent continuer à faire connaître et défendre l'histoire des mutins Russes de La Courtine.
Guéret, le 18 décembre 2013


Chers amis
Le 15 septembre 2012 nous étions 300 réunis au cimetière de la Courtine pour inaugurer la stèle à la mémoire des mutins du Corps Expéditionnaire Russe de 1917.
Cette initiative de La Libre Pensée de la Creuse, ainsi que les dons de 150
contributeurs ont permis de sortir de l’oubli un des épisodes les plus méconnus de la 1ère guerre mondiale. Et pourtant ! Une poignée de soldats russes loin de leur pays natal réinventaient sur cette terre frondeuse du Limousin le pacifisme et la démocratie alors que partout en Europe ne régnaient que la guerre et l’arbitraire.
La Courtine fut pour quelques mois une petite république. Une fleur nouvelle, fragile, née du refus des hommes de se soumettre à la logique de l’anéantissement des peuples voulu par les maîtres de la guerre.
Nous savons comment cela se termina. La fleur fût écrasée à coups de canons de 75. Des frères tirant sur des frères. Fin de l’histoire ? Pas du tout.
Le canon peut détruire les corps mais pas la mémoire. Et la mémoire est chose rebelle.
Les 10 000 mutins de la 1ère Brigade du Corps Expéditionnaire Russe nous ont légué une grande leçon de résistance et de pacifisme.
« Non » est un des tous premiers mots que prononce l'enfant. Il découvre
fasciné son étrange pouvoir. Non pas celui de mettre fin à toutes choses mais bien de les changer. Le soldat qui dit « non » fait son premier pas hors de l’esclavage. Fallait-il que ce soit ce « bétail » militaire russe soi-disant maté par des siècles de servage qui jette cette évidence à la face du monde !
Nous sommes nombreux à penser que cette leçon de liberté est un cadeau
précieux. Un outil de résistance formidable en ces temps où les conflits et les guerres
sont toujours là et où la violence s'exprime avec force dans le domaine économique et social. Une gifle magistrale à ceux qui veulent toujours dans leur propre intérêt nous faire croire qu'il n'y a pas d’alternative aux marches forcées de l'histoire. Ainsi, nous considérons que l'inauguration de la stèle est un point de départ. Celui de la perpétuation de la mémoire des mutins de la Courtine et des enseignements qu'ils nous ont donné en héritage. Pour nous, mais aussi pour les générations futures.
La commémoration du centenaire du déclenchement de la 1ère guerre mondiale ne peut passer sous silence cette parenthèse où des hommes ont refusé de prendre le chemin du terrible abattoir et décidé de reprendre leur destin en main. En hommes libres.
Aussi, animés par le profond désir de faire de cet épisode historique un
message d’avenir, nous vous invitons à participer à la création de l’Association :
« La Courtine 1917 » association pour la mémoire de la mutinerie des soldats russes à La Courtine en 1917


       Samedi 18 janvier 2014 à 10h00 à la Mairie de La Courtine
L’association aura pour but d’entretenir et faire connaître la stèle mais aussi cette mémoire en organisant des manifestations diverses : d'éducation populaire, culturelles, artistiques et pédagogiques.
La naissance de cette association vient fédérer un mouvement déjà largement amorcé depuis septembre 2012 avec des conférences-débat organisées dans les départements de Creuse, Haute-Vienne, Corrèze, Loire, mais aussi avec des représentations théâtrales et des projections de films qui ont eu lieu et des projets pédagogiques qui sont actuellement présentés pour porter l'histoire des mutins russes de La Courtine ainsi qu’un film-documentaire russe également en préparation..
Comptant sur votre présence avec nous le 18 janvier à la Courtine pour fonder l’association « La Courtine 1917 », recevez chers amis nos cordiales salutations.
Régis PARAYRE
Jean-Marc MICHELON
Jean GAVRILENKO
Eric MOLODTZOFF
t A tous les citoyens qui ont contribué à l'édification de la stèle au cimetière de La Courtine en hommage aux 10 000 soldats russes mutinés en 1917.
- A tous les citoyens pacifistes, élus, responsables d'associations, historiens, chercheurs, artistes, journalistes, qui souhaitent continuer à faire connaître et défendre l'histoire des mutins Russes de La Courtine.
Guéret, le 18 décembre 2013

Chers amis
Le 15 septembre 2012 nous étions 300 réunis au cimetière de la Courtine pour inaugurer la stèle à la mémoire des mutins du Corps Expéditionnaire Russe de 1917.
Cette initiative de La Libre Pensée de la Creuse, ainsi que les dons de 150
contributeurs ont permis de sortir de l’oubli un des épisodes les plus méconnus de la 1ère guerre mondiale. Et pourtant ! Une poignée de soldats russes loin de leur pays natal réinventaient sur cette terre frondeuse du Limousin le pacifisme et la démocratie alors que partout en Europe ne régnaient que la guerre et l’arbitraire.
La Courtine fut pour quelques mois une petite république. Une fleur nouvelle, fragile, née du refus des hommes de se soumettre à la logique de l’anéantissement des peuples voulu par les maîtres de la guerre.
Nous savons comment cela se termina. La fleur fût écrasée à coups de canons de 75. Des frères tirant sur des frères. Fin de l’histoire ? Pas du tout.
Le canon peut détruire les corps mais pas la mémoire. Et la mémoire est chose rebelle.
Les 10 000 mutins de la 1ère Brigade du Corps Expéditionnaire Russe nous ont légué une grande leçon de résistance et de pacifisme.
« Non » est un des tous premiers mots que prononce l'enfant. Il découvre
fasciné son étrange pouvoir. Non pas celui de mettre fin à toutes choses mais bien de les changer. Le soldat qui dit « non » fait son premier pas hors de l’esclavage. Fallait-il que ce soit ce « bétail » militaire russe soi-disant maté par des siècles de servage qui jette cette évidence à la face du monde !
Nous sommes nombreux à penser que cette leçon de liberté est un cadeau
précieux. Un outil de résistance formidable en ces temps où les conflits et les guerres
sont toujours là et où la violence s'exprime avec force dans le domaine économique A tous les citoyens qui ont contribué à l'édification de la stèle au cimetière de La Courtine en hommage aux 10 000 soldats russes mutinés en 1917.
- A tous les citoyens pacifistes, élus, responsables d'associations, historiens, chercheurs, artistes, journalistes, qui souhaitent continuer à faire connaître et défendre l'histoire des mutins Russes de La Courtine.
Guéret, le 18 décembre 2013

Chers amis
Le 15 septembre 2012 nous étions 300 réunis au cimetière de la Courtine pour inaugurer la stèle à la mémoire des mutins du Corps Expéditionnaire Russe de 1917.
Cette initiative de La Libre Pensée de la Creuse, ainsi que les dons de 150
contributeurs ont permis de sortir de l’oubli un des épisodes les plus méconnus de la 1ère guerre mondiale. Et pourtant ! Une poignée de soldats russes loin de leur pays natal réinventaient sur cette terre frondeuse du Limousin le pacifisme et la démocratie alors que partout en Europe ne régnaient que la guerre et l’arbitraire.
La Courtine fut pour quelques mois une petite république. Une fleur nouvelle, fragile, née du refus des hommes de se soumettre à la logique de l’anéantissement des peuples voulu par les maîtres de la guerre.
Nous savons comment cela se termina. La fleur fût écrasée à coups de canons de 75. Des frères tirant sur des frères. Fin de l’histoire ? Pas du tout.
Le canon peut détruire les corps mais pas la mémoire. Et la mémoire est chose rebelle.
Les 10 000 mutins de la 1ère Brigade du Corps Expéditionnaire Russe nous ont légué une grande leçon de résistance et de pacifisme.
« Non » est un des tous premiers mots que prononce l'enfant. Il découvre
fasciné son étrange pouvoir. Non pas celui de mettre fin à toutes choses mais bien de les changer. Le soldat qui dit « non » fait son premier pas hors de l’esclavage. Fallait-il que ce soit ce « bétail » militaire russe soi-disant maté par des siècles de servage qui jette cette évidence à la face du monde !
Nous sommes nombreux à penser que cette leçon de liberté est un cadeau
précieux. Un outil de résistance formidable en ces temps où les conflits et les guerres
sont toujours là et où la violence s'exprime avec force dans le domaine économique et social. Une gifle magistrale à ceux qui veulent toujours dans leur propre intérêt nous faire croire qu'il n'y a pas d’alternative aux marches forcées de l'histoire. Ainsi, nous considérons que l'inauguration de la stèle est un point de départ. Celui de la perpétuation de la mémoire des mutins de la Courtine et des enseignements qu'ils nous ont donné en héritage. Pour nous, mais aussi pour les générations futures.
La commémoration du centenaire du déclenchement de la 1ère guerre mondiale ne peut passer sous silence cette parenthèse où des hommes ont refusé de prendre le chemin du terrible abattoir et décidé de reprendre leur destin en main. En hommes libres.
Aussi, animés par le profond désir de faire de cet épisode historique un
message d’avenir, nous vous invitons à participer à la création de l’Association :
« La Courtine 1917 » association pour la mémoire de la mutinerie des soldats russes à La Courtine en 1917

       Samedi 18 janvier 2014 à 10h00 à la Mairie de La Courtine
L’association aura pour but d’entretenir et faire connaître la stèle mais aussi cette mémoire en organisant des manifestations diverses : d'éducation populaire, culturelles, artistiques et pédagogiques.
La naissance de cette association vient fédérer un mouvement déjà largement amorcé depuis septembre 2012 avec des conférences-débat organisées dans les départements de Creuse, Haute-Vienne, Corrèze, Loire, mais aussi avec des représentations théâtrales et des projections de films qui ont eu lieu et des projets pédagogiques qui sont actuellement présentés pour porter l'histoire des mutins russes de La Courtine ainsi qu’un film-documentaire russe également en préparation..
Comptant sur votre présence avec nous le 18 janvier à la Courtine pour fonder l’association « La Courtine 1917 », recevez chers amis nos cordiales salutations.
Régis PARAYRE
Jean-Marc MICHELON
Jean GAVRILENKO
Eric MOLODTZOFF
et 
social. Une gifle magistrale à ceux qui veulent toujours dans leur propre intérêt nous faire croire qu'il n'y a pas d’alternative aux marches forcées de l'histoire. Ainsi, nous considérons que l'inauguration de la stèle est un point de départ. Celui de la perpétuation de la mémoire des mutins de la Courtine et des enseignements qu'ils nous ont donné en héritage. Pour nous, mais aussi pour les générations futures.
La commémoration du centenaire du déclenchement de la 1ère guerre mondiale ne peut passer sous silence cette parenthèse où des hommes ont refusé de prendre le chemin du terrible abattoir et décidé de reprendre leur destin en main. En hommes libres.
Aussi, animés par le profond désir de faire de cet épisode historique un
message d’avenir, nous vous invitons à participer à la création de l’Association :
« La Courtine 1917 » association pour la mémoire de la mutinerie des soldats russes à La Courtine en 1917

       Samedi 18 janvier 2014 à 10h00 à la Mairie de La Courtine
L’association aura pour but d’entretenir et faire connaître la stèle mais aussi cette mémoire en organisant des manifestations diverses : d'éducation populaire, culturelles, artistiques et pédagogiques.
La naissance de cette association vient fédérer un mouvement déjà largement amorcé depuis septembre 2012 avec des conférences-débat organisées dans les départements de Creuse, Haute-Vienne, Corrèze, Loire, mais aussi avec des représentations théâtrales et des projections de films qui ont eu lieu et des projets pédagogiques qui sont actuellement présentés pour porter l'histoire des mutins russes de La Courtine ainsi qu’un film-documentaire russe également en préparation..
Comptant sur votre présence avec nous le 18 janvier à la Courtine pour fonder l’association « La Courtine 1917 », recevez chers amis nos cordiales salutations.
Régis PARAYRE
Jean-Marc MICHELON
Jean GAVRILENKO
Eric MOLODTZOFF
contribué à l'édification de la stèle au cimetière de La Courtine en hommage aux 10 000 soldats russes mutinés en 1917.

- A tous les citoyens pacifistes, élus, responsables d'associations, historiens, chercheurs, artistes, journalistes, qui souhaitent continuer à faire connaître et défendre l'histoire des mutins Russes de La Courtine.
Guéret, le 18 décembre 2013

Chers amis
Le 15 septembre 2012 nous étions 300 réunis au cimetière de la Courtine pour inaugurer la stèle à la mémoire des mutins du Corps Expéditionnaire Russe de 1917.
Cette initiative de La Libre Pensée de la Creuse, ainsi que les dons de 150
contributeurs ont permis de sortir de l’oubli un des épisodes les plus méconnus de la 1ère guerre mondiale. Et pourtant ! Une poignée de soldats russes loin de leur pays natal réinventaient sur cette terre frondeuse du Limousin le pacifisme et la démocratie alors que partout en Europe ne régnaient que la guerre et l’arbitraire.
La Courtine fut pour quelques mois une petite république. Une fleur nouvelle, fragile, née du refus des hommes de se soumettre à la logique de l’anéantissement des peuples voulu par les maîtres de la guerre.
Nous savons comment cela se termina. La fleur fût écrasée à coups de canons de 75. Des frères tirant sur des frères. Fin de l’histoire ? Pas du tout.
Le canon peut détruire les corps mais pas la mémoire. Et la mémoire est chose rebelle.
Les 10 000 mutins de la 1ère Brigade du Corps Expéditionnaire Russe nous ont légué une grande leçon de résistance et de pacifisme.
« Non » est un des tous premiers mots que prononce l'enfant. Il découvre
fasciné son étrange pouvoir. Non pas celui de mettre fin à toutes choses mais bien de les changer. Le soldat qui dit « non » fait son premier pas hors de l’esclavage. Fallait-il que ce soit ce « bétail » militaire russe soi-disant maté par des siècles de servage qui jette cette évidence à la face du monde !
Nous sommes nombreux à penser que cette leçon de liberté est un cadeau
précieux. Un outil de résistance formidable en ces temps où les conflits et les guerres
sont toujours là et où la violence s'exprime avec force dans le domaine économique et social. Une gifle magistrale à ceux qui veulent toujours dans leur propre intérêt nous faire croire qu'il n'y a pas d’alternative aux marches forcées de l'histoire. Ainsi, nous considérons que l'inauguration de la stèle est un point de départ. Celui de la perpétuation de la mémoire des mutins de la Courtine et des enseignements qu'ils nous ont donné en héritage. Pour nous, mais aussi pour les générations futures.
La commémoration du centenaire du déclenchement de la 1ère guerre mondiale ne peut passer sous silence cette parenthèse où des hommes ont refusé de prendre le chemin du terrible abattoir et décidé de reprendre leur destin en main. En hommes libres.
Aussi, animés par le profond désir de faire de cet épisode historique un
message d’avenir, nous vous invitons à participer à la création de l’Association :
« La Courtine 1917 » association pour la mémoire de la mutinerie des soldats russes à La Courtine en 1917

       Samedi 18 janvier 2014 à 10h00 à la Mairie de La Courtine
L’association aura pour but d’entretenir et faire connaître la stèle mais aussi cette mémoire en organisant des manifestations diverses : d'éducation populaire, culturelles, artistiques et pédagogiques.
La naissance de cette association vient fédérer un mouvement déjà largement amorcé depuis septembre 2012 avec des conférences-débat organisées dans les départements de Creuse, Haute-Vienne, Corrèze, Loire, mais aussi avec des représentations théâtrales et des projections de films qui ont eu lieu et des projets pédagogiques qui sont actuellement présentés pour porter l'histoire des mutins russes de La Courtine ainsi qu’un film-documentaire russe également en préparation..
Comptant sur votre présence avec nous le 18 janvier à la Courtine pour fonder l’association « La Courtine 1917 », recevez chers amis nos cordiales salutations.
Régis PARAYRE
Jean-Marc MICHELON
Jean GAVRILENKO
Eric MOLODTZOFF

jeudi 12 décembre 2013

Joyeux Noël païen !

 

La crèche, les rois mages, la messe de minuit et la naissance du petit Jésus, la grosse bouffe, les cadeaux du père Noël au pied du sapin...Çà fleure bon les traditions chrétiennes sauf que tout cela n'est qu'un montage à partir de pièces récupérées par l'Eglise dans les cultes païens !
  • Ni étable ou grotte, la crèche est une mangeoire pour la nourriture réservée au bétail. Bien que les évangélistes ne soient pas d'accord entre eux ce symbole non historique est reproduit dans le monde entier y compris sur des places publiques !
  • Pas de « rois mages » croisés dans les évangiles, ceux-ci seront « inventés » au IXème siècle par le pape Léon IV.
  • La date du 25 décembre comme date de naissance du personnage de Jésus (à supposer son historicité) est purement artificielle et au cours des siècles tous les mois y sont passés.
  • Noël le 25 décembre, c'est la récupération de la fête du dieu Mithra, culte apparu 2000 ans avant J.C., et le jour sacré des adeptes de Mithra était le dimanche ! Curieux non ?
  • Enfin en matière de bombance, l'Eglise préfère les interdits alimentaires...pour les autres bien sûr !

Fêtez donc Noël, « sol invictus », en sachant qu'il s'agit d'une fête païenne récupérée par l'Eglise catholique, secte qui a réussi en faisant ses emplettes chez les autres.

dimanche 1 décembre 2013

Le sabre et le goupillon sous la houlette du maire

tradition joliment respectée, en effet que les retrouvailles annuelles du sabre et du goupillon, organisées sous la houlette du maire, du sous-préfet et du procureur de la République

vendredi 29 novembre 2013

Le bon Dieu dans la merde !

 
Laissez venir à moi le pognon, un peu d'herbe, les petites femmes et les petits garçons !

Au nom de Dieu sans doute, des curés tripotent les petits garçons, des musulmans intégristes lapident des femmes et des juifs orthodoxes passent la Palestine au casher. On se dit que çà doit être plus cool du côté du bouddhisme.
Et bien non ! C'est même un sacré merdier chez Bouddha !
31 moines thaïlandais de la province de Saraburi viennent d'être exclus pour consommation et trafic de stupéfiants, une enquête étant en cours pour blanchiment d'argent. 3 autres moines bouddhistes, mais matérialistes, se sont fait repéré circulant en jet privé avec Ray ban et bagages de luxe. Le scandale le plus important concerne des moines accusés de draguer en ligne, d'organiser des parties fines, de racolage et pratiques sexuelles avec des mineurs. Dans un pays où 95 % de la population pratique le bouddhisme, ce non respect des préceptes fait désordre et explique la perte d'influence des moines sur la population.
En Corée du Sud, lors de la célébration marquant la naissance du Bouddha, des moines se sont fait prendre en train de picoler, fumer et de jouer au poker dans un pays où les jeux d'argent sont interdits, sauf au casino.
Sexe, drogue, pédophilie et luxe : les moines bouddhistes s'en donnent à coeur joie !
C'est vraiment le bordel dans toutes les maisons à Dieu !

vendredi 22 novembre 2013

Ne cherchez pas l'erreur ! Il n'y en a pas.

    

Les deux Présidents sont des esthètes dans l'art des promesses électorales inversées.
Ils sont donc les inventeurs et les décideurs d'une même politique, dite de droite, globalement en opposition avec leurs programmes électoraux respectifs.
Le deux Présidents sont solidaires. Chirac, rappelons-nous, avait annoncé qu'il voterait pour Hollande lors des présidentielles de 2012


L'émouvant hommage de Hollande à Chirac


    • Par Solenn de Royer
    • Mis à jour le 21/11/2013 à 19:38
    • Publié le 21/11/2013 à 19:02
L'arrivée des deux présidents de la République, au musée du quai Branly jeudi, s'est fait sous une pluie d'applaudissements. François Hollande a rendu un hommage particulièrement chaleureux à son prédécesseur à l'Elysée.
L'arrivée des deux présidents de la République, au musée du quai Branly jeudi, s'est fait sous une pluie d'applaudissements. François Hollande a rendu un hommage particulièrement chaleureux à son prédécesseur à l'Elysée. Crédits photo : Jacky Naegelen/AP
Les deux hommes étaient présents dans le cadre de la remise du Prix de la Fondation Chirac, lancée en 2008 au service de la paix dans le monde. La fondation soutient des projets de terrain, qui impliquent les populations locales et proposent des solutions concrètes et innovantes.
Les deux hommes étaient présents dans le cadre de la remise du Prix de la Fondation Chirac, lancée en 2008 au service de la paix dans le monde. La fondation soutient des projets de terrain, qui impliquent les populations locales et proposent des solutions concrètes et innovantes. Crédits photo : JACKY NAEGELEN/REUTERS
Le Prix 2013 a été remis au docteur Denis Mukwege (à gauche), engagé aux côtés des femmes violées de République démocratique du Congo. Les deux présidents se sont retrouvés dans un rare moment de concorde politique. Une cause commune, celle des femmes africaines violées, «au-delà des différences politiques», a affirmé l'actuel président de la République.
Le Prix 2013 a été remis au docteur Denis Mukwege (à gauche), engagé aux côtés des femmes violées de République démocratique du Congo. Les deux présidents se sont retrouvés dans un rare moment de concorde politique. Une cause commune, celle des femmes africaines violées, «au-delà des différences politiques», a affirmé l'actuel président de la République. Crédits photo : JACKY NAEGELEN/REUTERS
Les retrouvailles des deux Corréziens ont été chaleureuses. «Je sais que j'exprime le sentiment de tous ici en saluant votre engagement pour des valeurs qui nous rassemblent et vont au-delà des différences politiques et des mandats exercés», a déclaré François Hollande lors de son intervention.
Les retrouvailles des deux Corréziens ont été chaleureuses. «Je sais que j'exprime le sentiment de tous ici en saluant votre engagement pour des valeurs qui nous rassemblent et vont au-delà des différences politiques et des mandats exercés», a déclaré François Hollande lors de son intervention. Crédits photo : JACKY NAEGELEN/REUTERS
Bernadette Chirac, l'épouse du président, était bien sûr présente lors de cette cérémonie. Les apparitions publiques de Jacques Chirac sont de plus en plus rares. Lors de ce rendez-vous, l'ancien président de la République s'est montré assez affaibli.
Bernadette Chirac, l'épouse du président, était bien sûr présente lors de cette cérémonie. Les apparitions publiques de Jacques Chirac sont de plus en plus rares. Lors de ce rendez-vous, l'ancien président de la République s'est montré assez affaibli. Crédits photo : JACKY NAEGELEN/AFP
EN IMAGES - Le président a profité de la remise du prix de la Fondation Chirac pour saluer avec chaleur son prédécesseur.
Ils arrivent ensemble dans le théâtre Claude Lévi-Strauss. L'ancien président, 81 ans, marche à petits pas, un sourire un peu absent, la main droite s'appuyant sur une canne, la main gauche posée sur l'épaule de son successeur à l'Élysée. Jacques Chirac1 et François Hollande2 se sont retrouvés, jeudi matin, au musée du quai Branly, à Paris, où était remis le cinquième prix de la Fondation Chirac3 pour la prévention des conflits, devant la chiraquie, dont Alain Juppé et François Baroin.
Hollande a salué Chirac, qu'il «retrouve avec plaisir en dehors de (leur) Corrèze commune», et son épouse Bernadette4, son «ancienne collègue au conseil général». «Je sais que j'exprime le sentiment de tous ici en saluant votre engagement pour des valeurs qui nous rassemblent tous et vont au-delà des différences politiques et des mandats exercés», a-t-il poursuivi. Il a loué l'attrait de Chirac pour la «diversité culturelle», son action contre le racisme et l'antisémitisme, son refus des conflits, notamment la guerre en Irak… «Chacun peut vous en remercier», a ajouté Hollande.

Réunion de famille

C'est Claude Chirac5 qui a remis les prix de la Fondation. L'un au docteur Denis Mukwege6, qui prend en charge des femmes victimes de viols, liés aux conflits armés, à l'est du Congo. L'autre à l'association Femmes Africa Solidarité, représentée par Bineta Diop. Au détour d'un discours impeccable, la fille de l'ancien président a glissé une boutade: «Mon père mesure plus que tout autre combien cette mission est difficile pour moi.» Avant d'évoquer les conseils paternels: «Bon, fais court, articule, et surtout n'oublie rien sur nos deux lauréats. Essaie d'être à la hauteur! (…) Je me présente devant vous très sereine.»
Avant de partir, Hollande a une nouvelle fois pris les mains de Chirac dans les siennes. Avec affection, peut-être. En tout cas, avec une évidente complicité. Les deux hommes se ressemblent: deux «Corréziens», deux «rad-soc» moqués quand ils semblaient encore loin de l'Élysée, préférant, une fois au sommet de l'État, réformer «à petits pas», selon les mots d'un ministre PS7. Jeudi, au quai Branly, c'était un peu une réunion de famille.
Solenn de Royer
  • journaliste
  • 39 abonnés
Journaliste politique au Figaro

Liens:

  • 1 http://plus.lefigaro.fr/tag/jacques-chirac
  • 2 http://plus.lefigaro.fr/tag/francois-hollande
  • 3 http://plus.lefigaro.fr/tag/fondation-chirac
  • 4 http://plus.lefigaro.fr/tag/bernadette-chirac
  • 5 http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/11/20/10001-20131120ARTFIG00590-claude-chirac-au-nom-du-pere.php
  • 6 http://madame.lefigaro.fr/societe/denis-mukwege-garde-corps-femmes-violees-211113-631340
  • 7 http://plus.lefigaro.fr/tag/ps
  • 8 http://www.lefigaro.fr/mon-figaro/2013/11/20/10001-20131120ARTFIG00590-claude-chirac-au-nom-du-pere.php
  • 9 http://madame.lefigaro.fr/societe/denis-mukwege-garde-corps-femmes-violees-211113-631340