dimanche 21 octobre 2018

Montée des nationalismes...: retour aux années 30?



Frédéric Taddeï reçoit Thomas Guénolé, politologue et candidat France Insoumise aux élections européennes, Annie Lacroix-Riz, historienne , François Bousquet, rédacteur en chef de la revue "Eléments" et Pierre Birnbaum, historien et sociologue . 

mercredi 17 octobre 2018

17 octobre 1961 - 17 octobre 2018 : 57 ème Anniversaire – VÉRITÉ et JUSTICE

17 octobre 1961 - 17 octobre 2018 : 57 ème
                Anniversaire – VÉRITÉ et JUSTICE
Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d'Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par le Gouvernement de l'époque dont le Premier Ministre Michel Debré hostile à l'indépendance de l'Algérie et le Préfet de Police Maurice Papon sous ses ordres. Ils défendaient leur droit à l'égalité, leur droit à l'indépendance et le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Ce jour-là, et les jours qui suivirent, des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés - notamment par la "force de police auxiliaire" - ou, pour nombre d'entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d'une violence et d'une brutalité extrêmes des forces de police.
57 ans après, la Vérité est partiellement en marche. Cependant, la France n'a toujours pas reconnu sa responsabilité dans les guerres coloniales qu'elle a menées, - en particulier la Guerre d'Algérie - non plus que dans le cortège de drames et d'horreurs qu'elles ont entraînés, comme ce crime d'Etat que constitue le 17 octobre 1961. Le 17 octobre 2012, le Président de la
République (François Hollande) avait certes fait un premier pas important, en déclarant : "Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance ont été tués lors d'une sanglante répression. La République reconnaît avec lucidité ces faits. Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes." Mais le terme de crime n'est pas repris, et la responsabilité, sous entendue, n'est pas clairement définie. Nous demandons une parole claire aux autorités de la République, au moment où certains osent encore aujourd'hui continuer à parler des "bienfaits de la colonisation", à célébrer le putsch des généraux à Alger contre la République, à "honorer" les criminels de l'OAS.
Dans ce domaine, il est donc nécessaire que des mesures significatives soient prises :
-Que la lumière soit faite sur les soi-disant « retours vers leurs douars d'origine » des algériens survivants du 17 octobre envoyés en fait dans des camps de la mort de l'Algérie coloniale.
-Que la création d'un lieu de mémoire voué à cet évènement, demandée dans la résolution votée par le Sénat en octobre 2012 qui reconnaissait elle aussi ce massacre, soit rapidement mise en œuvre par les autorités de l'Etat, de la Ville de Paris et la Région Ile-de-France.
-Pour être fidèles à leur mission scientifique, les historiens ont besoin de pouvoir accéder librement aux archives, échapper aux contrôles des pouvoirs ou des groupes de pression et travailler ensemble, avec leurs collègues algériens
-La vérité doit être dite sur l'organisation criminelle de l'OAS que certains, comme au sein de la droite et extrême droite politique veulent la réhabiliter.
Ce n'est qu'à ce prix que pourra disparaître la séquelle la plus grave de la Guerre d'Algérie, à savoir le racisme, l'islamophobie dont sont victimes aujourd'hui nombre de citoyennes et citoyens, ressortissants d'origine maghrébine ou des anciennes colonies, y compris sous la forme de violences policières récurrentes, parfois meurtrières.
On ne construit pas la démocratie sur des mensonges et des occultations. Après plus d'un demi-siècle, il est temps :
-Que le Président de la République, au nom de la France, confirme, par un geste symbolique, la reconnaissance et la condamnation de ce crime d'Etat.
-Comme il vient de le faire pour l'assassinat de Maurice Audin par l'armée française et pour l'existence d'un système de torture généralisé. Cette reconnaissance doit s'étendre aux milliers d'Algériens qui en ont été victimes. 
-Que l'Etat français reconnaisse sa responsabilité dans l'internement arbitraire, pendant la Guerre d'Algérie, d'Algériens dans des camps.
-Que la liberté d'accès aux archives soit effective pour tous, historiens et citoyens.
-Que la recherche historique sur ces questions soit encouragée, dans un cadre franco-algérien, international et indépendant.
A l'occasion de ce 57ème anniversaire,
nous exigeons Vérité et Justice.
Rassemblement le 17 Octobre 2018 à 18 heures
au Pont Saint Michel à PARIS

mardi 9 octobre 2018

"Macronchal nous voilà!"

Tous en choeur, on l'a déjà chantée en 1940 !

Macronchal, nous voilà !
Devant toi le sauveur de la France
Nous jurons, nous, tes gars
De servir et de suivre tes pas
 Emmanuel nous voilà....
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dimanche 7 octobre 2018

Une armée, pour quoi faire ?


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Le 1er décembre, au Costa Rica, c'est jour de fête nationale, mais sans défilé militaire car cette nation d'Amérique centrale, située entre le Panama et le Nicaragua, peuplée de 5 millions d'habitants a aboli son armée en 1948.
A l'heure des hausses de budgets militaires, de la propagation des guerres sur toute la planète, le Costa Rica, rejoint en 1990 par le Panama (1), demeure la preuve qu'une nation peut exister sans armée.
« Certains pensent que nous sommes vulnérables parce que nous n'avons pas d'armée. C'est parce que nous n'avons pas d'armée que nous sommes forts ».
Ces mots d'Oscar Arias Sanchez, ancien président costaricain et Prix Nobel de la Paix en 1987, s'inscrivent dans une tradition pacifiste vieille de plus de soixante dix ans.

Tout débute lors de l'élection présidentielle du 8 février 1948. Celle-ci, entachée de fraude électorale et de faits de corruption donne vainqueur le candidat de l'opposition Otilio Ulate Blanco mais le Congrès proche du gouvernement en place, déclare vainqueur le candidat du parti au pouvoir, le Dr Rafael Angel Calderon Guardia. Une grande majorité des bulletins de vote ayant disparu dans un mystérieux incendie, aucune vérification officielle n'est possible.
C'en est trop pour l'opposition qui rentre en conflit ouvert avec le gouvernement.
La principale figure de ce conflit est un simple fermier, José Figueres Ferrer surnommé « Don Pepe ». Celui-ci, n'est pas un inconnu ; il est très populaire depuis le 8 juillet 1942 date où il a dénoncé à la radio la corruption et l'intimidation orchestrées par le gouvernement. Arrêté en plein émission, emprisonné quelques jours il est alors contraint à l'exil et se réfugie au Mexique.
De retour dans sa ferme rebaptisée « La lucha » (la lutte), il va mettre sur pied une armée, la « Legion del Caribe» (la Légion des Caraïbes), forte de quelques 600 hommes qui vient à bout de l'armée du gouvernement, aidé par le Nicaragua, dans une guerre civile de deux mois à peine, mais qui fera néanmoins entre un et deux milliers de morts.

Don Pepe prend la tête d'un gouvernement provisoire, le temps d'instaurer la démocratie puis rend le pouvoir à Ulate Blanco le vainqueur légitime de l'élection de février. Durant les 18 mois de son gouvernement provisoire, Don Pepe va nationaliser les banques et, mesure phare entre toutes, abolir purement et simplement l'armée.
Ce jour là, Don Pepe se rend à la caserne de Bellavista dans la capitale San José, grimpe sur une échelle et porte des coups de masse aux murs : ce geste symbolique orne aujourd'hui les billets de banque de 10 000 colones. Quant à la caserne il en fait cadeau à l'université qui la transformera en musée national !
Le décret-loi du 1er décembre 1948 sera entériné par la Constitution adoptée en 1949 : « L'armée est abolie en tant qu'institution permanente »
Une première dans un pays indépendant !

Pour se protéger, le Costa Rica va signer des pactes de non-agression et des accords de protection. En cas de conflit il peut faire appel à « l'Organisation des Etats d'Amérique » créée pour assurer entre ses membres « un ordre de paix et de justice ». Ce sera d'ailleurs le cas lors d'une tentative d'agression du Nicaragua voisin en 1959.
C'est un contingent de 14 000 policiers (1 pour 360 habitants) qui remplace l'armée, en étant chargée de la sécurité publique, du maintien de l'ordre, de la surveillance des frontières et de la lutte contre le trafic de drogue particulièrement actif depuis quelques années dans cette région du globe.
Dans une région historiquement marquée par les guerres civiles et les coups d'Etat militaire (cf. Nicaragua, Salvador, Guatemala) quel défi lancé par Don Pepe qui s'exclamait en avril 1948 : « No quiero un ejercito de soldados, sino uno de educatores » (Je ne veux pas une armée de soldats mais d'éducateurs) !

Alors que le Guatemala, le Salvador et le Nicaragua sombraient dans la guerre civile, 90 % de la population répondait « NON » lors d'un sondage sur le retour de l'armée ! A croire que les costaricains se passent de la présence des militaires, ce que semble d'ailleurs confirmer Daniel Matul, professeur de sciences politiques :
« Supprimer l'institution militaire répondait à une nécessité politique. L'armée était divisée, l'éliminer permettait d'éviter tout risque de renversement du pouvoir. Cela dit, ce n'était pas la raison principale et abolir l'armée était avant tout une décision visionnaire. En à peine dix ans, l'espérance de vie a décollé, le taux de mortalité due aux maladies bénignes a chuté et l'éducation a fait un bond incroyable. Il y a eu une vraie cohérence à dire : nous allons arrêter d'acheter des armes pour payer plus de professeurs et de médecins ».
Et en effet, selon la « Fondation Arias pour la Paix et le progrès humain » (2), la suppression de l'armée a permis le financement des universités et des trois plus grands hôpitaux du pays. Les budgets de la santé, de l'éducation ont été augmenté de près de 30 % en 10 ans. Le pays a connu pendant dès les premières décennies une croissance bien supérieure à l'ensemble de ses voisins et aujourd'hui le Costa Rica peut s'enorgueillir d'avoir un taux d'alphabétisation de plus de 97 %, une espérance de vie de 80 ans ! Le Costa Rica, le plus riche d'Amérique centrale, se trouve placé en terme de développement économique au 48ème rang mondial quant le Nicaragua est au 110ème, le Guatemala au 118ème.

Le Costa Rica s'est fait le chantre de la paix avec l'installation à San José, en 1979 de la Cour Interaméricaine des droits de l'homme. Profitant de ce prestige international, après le prix Nobel de la Paix octroyé en 1987 au président costaricain Arias Sanchez, le pays lance en 1996 un appel pour « réclamer un code de conduite sur les transferts internationaux d'armes ». Cet appel débouchera sur le traité relatif au commerce des armes adopté par l'ONU en 2013. Quant au respect des traités l'ONU, c'est une autre histoire !
Le Costa Rica milite aujourd'hui pour l'élimination totale des armes nucléaires.

L'historienne Clotilde Obregon rappelle que l'idée d'abolir l'armée n'est pas survenue du jour au lendemain :
« En 1825, partant de l'idée que la justice devait être la même pour tous, les tribunaux militaires furent supprimés. Les soldats, ainsi que des ecclésiastiques furent alors jugés devant des tribunaux civils. Le Costa Rica choisissait d'être un Etat « civiliste ». Dès lors, le budget militaire ne cessait de s'amenuiser et en 1948 lors de la brève guerre civile l'armée ne comptait que 800 hommes, à peine plus que l'armée populaire levée par « Don Pepe » !
Comme l'explique Luis Guillermo Solis l'actuel président costaricain, cette culture politique fait du Costa Rica le pays le plus sûr d'Amérique centrale :
« Ne pas avoir d'armée est une source de paix et de tranquillité. Contrairement à l'Europe,où l'armée est associée à la défense de l'Etat, à l'essence même de la Nation. Mais dans beaucoup de pays d'Amérique latine, l'armée est associée au terrorisme d'Etat, à la destruction de la démocratie, à la perversion des institutions ».
Un autre ancien président costaricain, Miguel Angel Rodriguez, s'exclamait en 2001 : « Comme président d'un pays sans armée, la recommandation que je fais à tous les pays d'Amérique est que nous éliminions les armées. A quoi bon les réduire, éliminons-les ! ».
Face aux politiques de surarmement partout dans le monde, en Europe et en particulier dans la France belliciste d'Emmanuel Macron, le Costa Rica fait figure de modèle politique et social en ayant préféré les médecins et les éducateurs aux militaires.
Face aux milliers de suppressions de postes d'enseignants, face aux fermetures de classes, d'écoles, Rosibel Salas Herrera, directrice d'un lycée professionnel rural livre un autre ordre des choses possibles :
« Dans (mon) pays, il y a une couverture à 100 %, l'école est partout...La plupart des écoles ont des bibliothèques, salles informatique.. »
Et face aux attaques contre notre système de santé, Elvira, étudiante infirmière livre une autre vérité : « Côté santé, les costaricains bénéficient d'une couverture sociale et d'une médecine performante... »
Tout n'est bien sûr pas idyllique : des peuples indigènes vivant dans des zones reculées manquent de moyens dans les écoles, les hôpitaux ont du mal à répondre aux urgences de la population et la police qui a remplacé l'armée peut se montrer répressive...comme partout du reste !
Il n'en reste pas moins que le Costa Rica, ce pays sans caserne nous montre qu'il est possible de vivre sans armée, qu'il est possible de résoudre les conflits sans violence.
En effet, en 70 ans ce pays « civiliste » n'a jamais été sérieusement inquiété.

Mettre fin aux dépenses militaires afin d'augmenter les budgets alloués à l'éducation, à la santé, voilà ce qui serait une vraie politique garante de la Paix universelle...

Qui a dit que l'armée était seule la garante de la Paix ?

  1. On compte une trentaine d'Etats souverains de très petite taille et de moins de 500 000 habitants qui ne possèdent pas d'armée et disposent d'un accord de défense avec un autre pays cf. l'Islande)
  2. Du nom d'Oscar Arias Sanchez, président costaricain, Prix Nobel de la Paix en 1987, initiateur des accords de Paix pour la pacification de l'Amérique centrale. Il fut le fondateur de la Fondation Arias pour la Paix et le Progrès.

samedi 6 octobre 2018

Allez pépé, un p'tit effort ! t'as bien quelques euros dont tu ne sais pas quoi faire parmi des 500 euros mensuels !...

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La France dans une impasse ?
Installés dans une servitude volontaire qui les conduit à l’impuissance, 
certains cherchent à trouver de
boucs-émissaires, des défouloirs, chez des « êtres étranges », 
dans le sport, les jeux ou dans la prise régulière de drogues ou 
de psychotropes qui les shootent momentanément avant de les mettre 
carrément « hors-jeu ».
Etranges, « les étrangers » qui rejettent les discriminations, même « positives »
les statuts particuliers et exigent le respect et un traitement égal qui repose sur 
les compétences.
Etranges, « les assistés » qui refusentla charité et la précarité que leur impose 
le système capitaliste ; précarité qui sert à anesthésier les bénéficiaires et à 
maintenir dans la peur ceux qui ont une activité.  
Etranges, les retraités révoltés parce qu’ils sont traités comme des « privilégiés » 
alors qu’ils ont droit à une pension bien méritée, au respect du travail accompli 
et à la dignité...Le plus triste, Madame Berger (LREM), c’est  que ce sont
 « ces retraités schizophrènes » que vous maltraitez qui payent vos confortables 
indemnités de députée et payeront votre retraite de 2500 euros pour 2 mandats, 
seulement !
Etranges, les femmes rebelles qui exigent « les mêmes devoirs et mêmes 
droits » que les hommes et refusent d’être traitées comme des paillassons ou 
des faire-valoir.
Etranges, les insoumis au sens large, les femmes et les hommes libres qui 
refusent le fait accompli et de croire qu’il n’y a pas d’alternative au système capitaliste.
Etranges, ceux qui refusent de se contenter de la médiocrité, du moins pire et 
exigent le meilleur pour tous...
Il est certain qu’il ne faut pas compter sur les désespérés ni sur les opportunistes 
ni sur les collabos pour sortir de cette impasse où les capitalistes veulent maintenir 
citoyens. Il est tout aussi inutile de compter sur des politicien(ne)s qui ont fait de la 
politique un fonds de commerce pour se placer, s’enrichir et se servir 
au lieu de servir.

La France n’est belle que debout, solidaire et rebelle...

Nul besoin de se plaindre ni de réclamer à des gouvernants qui ne conçoivent 
les pauvres que très pauvres et les riches que très riches ; alors, sortons des 
pièges de la division, du chacun pour soi.

Ensemble, ABATTONS LE CAPITALISME !


jeudi 4 octobre 2018

Israël, criminel de guerre



"La démolition du village bédouin de Khan al-Ahmar, à l’Est de Jérusalem, le déplacement de ses habitants par la force, en vue d’étendre les colonies israéliennes illégales, est un crime de guerre", vient de déclarer Amnesty International.
"Ce n’est pas seulement un acte immoral, c’est illégal", a souligné Saleh Higazi, Directeur adjoint d’Amnesty pour le Moyen Orient et l’Afrique du Nord.
La démolition de ce village implique le déplacement de 181 résidents dont 53 % sont des enfants et 95 % des réfugiés.
La "justice" israélienne a entériné cette démolition sur la base de "la quasi-impossibilité d’obtenir d’Israel des permis de construire pour les habitants de Khan alAmar", ce qui résulte d’une politique discriminatoire de zoning par l’occupant israélien, ont fait remarquer les Nations Unies.
Comme 60 % des terres palestiniennes de Cisjordanie, qui sont en même temps les plus fertiles, Khan al-Ahmar se trouve en zone C depuis les accords d’Oslo, et donc sous total contrôle militaire israélien, bien que les mêmes accords aient prévu que cette zone C devait progressivement passer sous le contrôle de l’Autorité Palestinienne au bout de 5 ans.
Mais près de deux décennies plus tard, la terre en question est toujours aux mains de l’occupant.
Amnesty International a lancé depuis lundi une campagne sur les réseaux sociaux, ciblant le coordinateur israélien de l’administration des territoires occupés (qui fait partie du ministère israélien de la défense), chargé de la zone C.
"Il s’agit clairement d’une violation de la 4ème Convention de Genève, et d’un crime de guerre, selon les statuts de la CPI", a déclaré Amnesty, ajoutant que "depuis 1967, Israel a déporté des communautés entières et démoli plus de 50.000 maisons et structures palestiniennes."
"Il fut absolument faire cesser ces crimes de guerre et la politique des destruction israélienne des maisons et de la vie des Palestiniens, à la faveur de la colonisation".
Il faut refuser tout crédit à la propagande israélienne qui s'exerce par l'entremise du commerce, de la culture, des échanges scientifiques ou sportifs: toute cette stratégie vise à faire oublier l'atrocité des crimes commis au quotidien par les fascistes au pouvoir en Israel. Pas un sou pour cette économie du crime.