lundi 12 octobre 2015

L'avortement en France : un droit précaire

L'avortement en France : un droit précaire

A Propos

Le projet : “Je ne suis pas acquis. L’avortement en France : un droit précaire.”

En France, une femme sur trois a recours à une interruption volontaire de grossesse.
Le droit à l’avortement n’est plus une utopie.
Depuis le 17 janvier 1975, chaque Française dispose de son corps, chaque Française est libre d’avorter.
Pourtant, malgré la reconnaissance de ce droit, il existe encore des obstacles.

Ce webdocumentaire propose de les mettre en lumière en répondant à ces interrogations :
Quelles sont les menaces ? A quel point l’accès à l’avortement est-il restreint ? Quelles sont les solutions envisagées ?

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L'auteure : Emeline Piucco

Etudiante en Master Journalisme et Médias Numériques à l’Université de Lorraine, j’ai travaillé pendant six mois sur ce projet afin de le rendre le plus exhaustif possible.
Vidéo, son, écrit, infographie ; les supports que j’ai utilisés sont multiples. Ils me permettent d'offrir à l’internaute une expérience multimédia tout en l’informant.

Mais le plus important reste le choix du sujet.
Pourquoi l’avortement ?
Autour de moi, il m’a été demandé de l’expliquer plusieurs fois.
Cette situation ne me laisse pas indifférente. Nous sommes au XXIe siècle, un siècle de modernité et de progrès, mais malgré cela, des Françaises sont encore obligées de lutter pour avorter. Un paradoxe. Une contradiction. Une réalité qui me dérange.

Je ne pouvais pas fermer les yeux.
Réalisation : 2014-2015

Remerciements

Je remercie les militants, professionnels, historiens, médecins qui ont accepté de répondre à mes questions. Leur aide a été précieuse. Grâce à eux, j'ai pu enrichir le contenu de ce webdocumentaire et approfondir le sujet.

Je remercie également Nathalie Pignard-Cheynel et Arnaud Mercier pour leurs conseils.

Un grand merci à mon entourage pour m'avoir supportée pendant ces six mois, pour m'avoir encouragée.
Et surtout, à mon amie Julie Fallon pour m'avoir hébergée et à ma tante Céline Cunin pour son coup de pouce !]

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