La France dans une impasse ?
Installés dans une servitude volontaire qui les conduit à l’impuissance,
certains cherchent à trouver de
boucs-émissaires, des défouloirs, chez des « êtres étranges »,
dans le sport, les jeux ou dans la prise régulière de drogues ou
de psychotropes qui les shootent momentanément avant de les mettre
carrément « hors-jeu ».
Etranges, « les étrangers » qui rejettent les discriminations, même « positives »,
les statuts particuliers et exigent le respect et un traitement égal qui repose sur
les compétences.
Etranges, « les assistés » qui refusentla charité et la précarité que leur impose
le système capitaliste ; précarité qui sert à anesthésier les bénéficiaires et à
maintenir dans la peur ceux qui ont une activité.
Etranges, les retraités révoltés parce qu’ils sont traités comme des « privilégiés »
alors qu’ils ont droit à une pension bien méritée, au respect du travail accompli
et à la dignité...Le plus triste, Madame Berger (LREM), c’est que ce sont
« ces retraités schizophrènes » que vous maltraitez qui payent vos confortables
indemnités de députée et payeront votre retraite de 2500 euros pour 2 mandats,
seulement !
Etranges, les femmes rebelles qui exigent « les mêmes devoirs et mêmes
droits » que les hommes et refusent d’être traitées comme des paillassons ou
des faire-valoir.
Etranges, les insoumis au sens large, les femmes et les hommes libres qui
refusent le fait accompli et de croire qu’il n’y a pas d’alternative au système capitaliste.
Etranges, ceux qui refusent de se contenter de la médiocrité, du moins pire et
exigent le meilleur pour tous...
Il est certain qu’il ne faut pas compter sur les désespérés ni sur les opportunistes
ni sur les collabos pour sortir de cette impasse où les capitalistes veulent maintenir
citoyens. Il est tout aussi inutile de compter sur des politicien(ne)s qui ont fait de la
politique un fonds de commerce pour se placer, s’enrichir et se servir
au lieu de servir.
La France n’est belle que debout, solidaire et rebelle...
Nul besoin de se plaindre ni de réclamer à des gouvernants qui ne conçoivent
les pauvres que très pauvres et les riches que très riches ; alors, sortons des
pièges de la division, du chacun pour soi.
Ensemble, ABATTONS LE CAPITALISME !
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