lundi 13 juillet 2015

Yanis Youlountas depuis Athênes: jamais les médias français n'ont aussi grossièrement menti !!!! Tzipras voué aux oubliettes de l'Histoire

Herr MERKEL et le Maréchal Hollande ont signé un accord de maintien de l'ordre libéralo-bankster dans les Etats périphériques de l'empire Germain et du duché de son vassal français.
 "Radio Paris ment, radio Paris ment radio Paris est allemand." PETITION:

De Yanis
Lundi 13 juillet 2015, à 9h. Je viens longuement d’éplucher les médias français. Vous êtes dans une   désinformation totale. Un contresens complet doublé d’un mensonge par omission :

 PERSONNE NE VOUS RÉVÈLE LES MANIFESTATIONS D’HIER ET D’AUJOURD’HUI EN GRÈCE, LES RASSEMBLEMENTS, LES ASSEMBLÉES POPULAIRES ET, ENCORE MOINS LES ÉMEUTES D’HIER SOIR !

 Vous êtes en train d’atteindre les sommets dans ce domaine, avec, en chef d’orchestre, notre pire ennemi aujourd’hui en Grèce : l’initiateur de ce que nous appelons le mémorandum "Hollande" travesti en meilleur ami du peuple grec (cf. carte mensongère du Nouvel Obs en PJ).  
  
 Ci-dessous sur le blog de Yanis Youlountas "je lutte donc je suis"
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C’EST FINI : LE GOUVERNEMENT TSIPRAS N’A PLUS DE MAJORITÉ AU PARLEMENT POUR ADOPTER LE MÉMORANDUM "HOLLANDE" !
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La majorité gouvernementale, c’était 149 (Syriza) + 13 (Grecs indépendants) 
= 162 sur 300 (cf. schéma en PJ).
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Désormais, au moins 32 députés Syriza refusent totalement ce mémorandum. Beaucoup y songent également.
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Les Grecs indépendants viennent également d’annoncer qu’ils refusent totalement ce mémorandum et demandent à Tsipras d’arrêter de négocier.
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Cela signifie que le gouvernement Tsipras n’a d’ores-et-déjà plus de majorité au parlement de pour adopter ce mémorandum : 162 – 32 (minimum) – 13 = 117 (sans doute moins).
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Ce qui signifie : 
– soit l’abandon du projet ; 
– soit la recomposition de la majorité (pour voter toutes les lois austéritaires et les privatisations qui vont suivre, de jour en jour).
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Autrement dit, le choix est très simple : 
– soit une vraie politique de gauche avec, si nécessaire, l’annulation pure et simple de la dette (ou sa suspension unilatérale ou un peu des deux), la nationalisation des banques, le Grexit, le rapprochement avec l’Amérique Latine et d’autres pays (en diversifiant), le chantier vers le maximum d’autosuffisance alimentaire et énergétique, les initiatives alternatives, etc. 
– soit une violente pasokisation de Syriza, avec non seulement la prise de contrôle par les transfuges du Pasok (qui sont souvent passés par Bruxelles), mais aussi une alliance avec les libéraux du Potami (parti centriste pro-austérité dirigé par un ancien animateur télé du genre Nikos Aliagas).
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NOUS N’AVONS PLUS D’AUTRE CHOIX : L’UTOPIE OU LA DYSTOPIE.
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Tout le reste n’est que parlote et manipulation.
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Y.Y.
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